2024-25
proposition /
- Viens plonger dans le bleu de Prusse et découvrir une des premières techniques de photographie : le cyanotype
- Viens te surprendre en réinventant, détournant, transformant tes autoportraits ! Invente-toi de nouveaux visages, de nouvelles identités
- Les selfies n'auront qu'à bien se tenir !
- Viens plonger dans le bleu de Prusse et découvrir une des premières techniques de photographie : le cyanotype
- Viens te surprendre en réinventant, détournant, transformant tes autoportraits ! Invente-toi de nouveaux visages, de nouvelles identités
- Les selfies n'auront qu'à bien se tenir !
À travers le thème de l'autoportrait, nous reprendrons cette ancienne
technique de photographie qui allie plusieurs phases de confection :
application de la solution photosensible, composition, exposition et révélation ! À partir de photographies déjà existantes mais aussi de prises de vue réalisées sur place, nous vous proposerons d'imaginer et de composer une série d'autoportraits détournés, transformés grâce à la technique du cyanotype. Cette plongée sera l'occasion de tourner autour de la question de l'identité de façon sensible et expérimentale.
technique de photographie qui allie plusieurs phases de confection :
application de la solution photosensible, composition, exposition et révélation ! À partir de photographies déjà existantes mais aussi de prises de vue réalisées sur place, nous vous proposerons d'imaginer et de composer une série d'autoportraits détournés, transformés grâce à la technique du cyanotype. Cette plongée sera l'occasion de tourner autour de la question de l'identité de façon sensible et expérimentale.
avec Jeanne Vallauri et Sandra Pasini
/- Qui est venu se poser sur ta main ?
- Qu’est-ce qui se cache sous ma peau ?
- Et si nous passions sur ce pont ?
- D’abord je plonge mes oreilles sous l’eau !
- Qu’est-ce qui se cache sous ma peau ?
- Et si nous passions sur ce pont ?
- D’abord je plonge mes oreilles sous l’eau !
Durant
4 matinées, nous invitons les enfants de 3 à 6 ans à venir jouer avec
les notions
« dessus » et « dessous » ! Danser à la surface de la terre
ou sous la peau, bras-dessus bras-dessous. Marquer ses empreintes sur
le sol, glisser sous le costume de gazon, chevaucher les racines et se
suspendre aux branches. Jouer à « monter sur », « passer sous »,
apparaître et disparaître, à soutenir et se déposer, à jaillir et
plonger. Observer
ce qui s’enfonce, ce qui s’envole, se couvre et se
découvre. Se faire archéologue, spéléologue et astronaute. S'inspirer
des créatures souterraines, aquatiques, terriennes et aériennes.
Dessiner autour de la ligne qu’on appelle horizon, une traversée en
mille-feuilles pour renverser nos imaginaires et créer joyeusement sans
dessus-dessous !
La
démarche des stages Tout-petits-lieues est d’offrir aux plus petits un
terrain de jeu sensible par la mise en jeu du corps et de l’imaginaire à
travers la danse, le dessin, la graphie, la fabrication, la lecture et
la discussion afin de favoriser une relation au monde poétique et
créative.
avec Marie-Lise Naud - Jeanne Vallauri
/
- Tu crois que c’est utile la poésie ?
- J’sais pas, peut-être que c’est surtout sa subtilité qui nous est utile.
- Faut voir. Toi ta quoi comme question ?
- J’sais pas, peut-être que c’est surtout sa subtilité qui nous est utile.
- Faut voir. Toi ta quoi comme question ?
Pendant
une semaine, il s’agira de chercher collectivement avec les enfants et
jeunes adolescents des manières de répondre à des questions venues
d’eux, en ayant comme contrainte l’envie d’instaurer des formes de «
réponse » porteuses d’expériences esthétiques. Ainsi, nous nous
laisserons guider par le foisonnement des questionnements tout en nous
appuyant sur les matériaux que permettent l’acte de danser, jouer,
écrire, dessiner, composer, photographier, mettre en espace, dire,
enregistrer, et écouter... pour trouver comment se (re)dire ce que l’on
pense et ressent. Nous nous amuserons à chercher comment répondre
poétiquement au sérieux comme au complexe, au pas clair comme aux
paradoxes, aux fantaisie comme aux (fausse) évidences...
avec Bérengèe Valour et Mary chebbah
2023-2024
Nous
proposons aux enfants d’investir le système de la cinétographie* comme
un véritable terrain de jeu. Nous observerons et expérimenterons ces
signes par des mises en corps, en mouvement. Nous tracerons des formes
étroites, rectangulaires, rondes, nous les placerons côte à côté pour
comprendre ce qu’elles nous racontent, ce qu’elles transportent. À
travers, des systèmes ludiques de mises en mouvement et de sonorisation,
les enfants enquêteront pendant 4 jours sur ces formes. Comment les
crée-t-on ? Qu’est-ce qui se cache derrière une forme ? Qu’est-ce que
nous y lisons ? Qu’est-ce qu’elles mettent en mouvement chez chacun et
chacune ? En filigrane, nous questionnerons ce qu’est un « système
d’écriture du mouvement ». De ces chemins d’expérience, les enfants
extrairont par jeux de correspondances, appropriations et traductions,
des formes plastiques, vocales et chorégraphiques. Le dernier jour, nous
partagerons ces expériences-traductions lors d’une restitution ouverte à
nos proches.
*La
cinétographie Laban a été créée en 1929 par le
théoricien,
chorégraphe,
danseur Rudolf Laban et ses collaborateurs. Issu de leurs recherches sur le mouvement,
ce système d’analyse nous invite à créer et à découvrir le mouvement par l’expérience.
danseur Rudolf Laban et ses collaborateurs. Issu de leurs recherches sur le mouvement,
ce système d’analyse nous invite à créer et à découvrir le mouvement par l’expérience.
avec alice boivin . et thaïs weishaupt
Le temps pète, le temps souffle, le temps gronde, il sourit !
Viens jouer avec l’humeur et l’énergie du ciel, la forme des nuages, les sons de la pluie ! Avec ce qui tombe et ce qui surgit ! Enfile bottes, cape ou chapeau pour sauter dans les flaques et dessiner les vents ! Viens faire danser la lumière et sonner les éclairs ! Modelons les moutons du ciel avant qu'il ne pleuve à verse et écoutons la musique joyeuse des gouttelettes à la surface de l’eau, là où se reflètent nos couleurs arcs-en-ciel !
Viens jouer avec l’humeur et l’énergie du ciel, la forme des nuages, les sons de la pluie ! Avec ce qui tombe et ce qui surgit ! Enfile bottes, cape ou chapeau pour sauter dans les flaques et dessiner les vents ! Viens faire danser la lumière et sonner les éclairs ! Modelons les moutons du ciel avant qu'il ne pleuve à verse et écoutons la musique joyeuse des gouttelettes à la surface de l’eau, là où se reflètent nos couleurs arcs-en-ciel !
En
prenant appui sur l’observation des états du ciel et des mouvements
météorologiques, nous proposons aux enfants de 4 à 6 ans, sur 3
matinées, d’explorer par la danse et la graphie la transformation des
formes, des couleurs, de la matière, de la lumière, et des émotions.
Visiter différents états de corps, de tonicités, d’énergies à la manière
des états de l’eau et de l’air et jouer ainsi librement à travers les
sensations, l’observation, l’écoute, et la fabrication, à faire des
liens entre les mouvements naturels qu’on observe autour de soi et ceux
que l’on ressent en soi. Le corps et le mouvement seront notre point de
départ, mais nous ouvrirons aussi grand nos oreilles pour écouter, nos
mains pour toucher, tracer, modeler et ainsi inventer nos paysages à
traverser !
Deux rendez-vous, l’un en hiver, l’autre au printemps, deux saisons pour parler du temps qu’il fait et de ce que ça nous fait. Deux stages à la fois indépendants et reliés !
Deux rendez-vous, l’un en hiver, l’autre au printemps, deux saisons pour parler du temps qu’il fait et de ce que ça nous fait. Deux stages à la fois indépendants et reliés !
avec Marie-Lise Naud -J eanne Vallaur et Sandra Pasini
/
- Eh tu t’es tellement rapprochée que je ne t’avais pas vu !
- Ben il fallait bien que je m’approche pour que je t’entende,
car là-bas c’était si loin que le bruit devenait silencieux ; alors tu me disais quoi ?
- Je voulais savoir si toi aussi quand tu étais loin de moi tu te sentais proche ?
- Ben il fallait bien que je m’approche pour que je t’entende,
car là-bas c’était si loin que le bruit devenait silencieux ; alors tu me disais quoi ?
- Je voulais savoir si toi aussi quand tu étais loin de moi tu te sentais proche ?
Pendant
5 jours, nous proposons aux enfants de venir enquêter par le corps, les
mots en mouvement, le dessin en composition, l’imagination en création,
l’espace en piste de mise en jeu, autour de ce qui peut nous sembler
(tout) PROCHE ou (très) LOIN. Dans cette plongée, ce sera l’occasion
d’expérimenter par exemple que l’on peut être à la fois proche dans le
temps et loin dans l’espace ou inversement, et que l’on peut être à la
fois loin et tout proche en même temps parfois dans une sensation... !
Ensemble, nous procéderons à élaborer une enquête collective tout en
s’appuyant sur des expériences sensibles/esthétiques riches à traverser.
avec bérengère valour . et mary chebbah de Lieues
2022-2023
"Nous lançons une invitation virevoltante aux adolescents pour rejoindre un sabbat de sorcières.
« Quand, un soir, je suis rentrée dans ma chambre agitée, je me suis regardée par hasard dans le miroir. Ce qu'il renvoyait était l'image d'une possédée, sauvage et dissolue, repoussante et fascinante. […] elle était là – la sorcière – la créature terrestre avec ses instincts débridés et nus, avec son insatiable soif de vivre, bête et femme à la fois. » Mary Wigman, Le langage de la danse
Au
début du XXe siècle, Mary Wigman (1886-1973), danseuse et chorégraphe
allemande, crée La danse de la sorcière. Chorégraphie et musique sont
composées simultanément, influencées par l’exotisme et le primitivisme
alors ambiants. Magicienne, sorcière, marabout ou prêtresse extatique…
la figure de la sorcière se décline en une multiplicité de facettes.
Caléidoscope de l’invisible opérant, elle apparaît comme une métaphore
de cet art étrange de la danse autant que de la découverte de l’étrange
étranger dans la danse moderne occidentale.
Pendant plusieurs jours, les adolescents déplieront partitions, archives, traces de recherche et les traverseront comme autant d’expériences à vivre. Il y aura la matière de la pièce de Wigman, et celle des traductions de Mains, mailles, mailloches, recherche chorégraphique du duo Ekkis.
Pendant plusieurs jours, les adolescents déplieront partitions, archives, traces de recherche et les traverseront comme autant d’expériences à vivre. Il y aura la matière de la pièce de Wigman, et celle des traductions de Mains, mailles, mailloches, recherche chorégraphique du duo Ekkis.
Alternant
entre des temps d’improvisation, de composition et d’interprétation, le
corps, l’air, le sol mais aussi des tissus et des percussions se
métamorphoseront, fusionneront, se détacheront, laissant résonner le
rythme et les mémoires sensibles de cette rencontre avec cette danse,
vieille d’un siècle. S’il s’agit de rencontrer une danse, il s’agit
aussi que cette danse nous rencontre et de remettre en jeu ce que nos
corps d’aujourd’hui ont à nous raconter de ces écarts et de cette figure
de la sorcière.
Ces transformations seront des ingrédients d’une décoction explosive le jour du stage/labo où parents et proches." Le duo Ekkis
// déroulé .
Matinée avec pause : mise en corps / explorations rythmiques et spatiales / discussions et traces d’expérience / initiation à la théorie de l’effort labanien et à la cinétographie / transmissions de partition, à partir de la reconstruction de la Danse de la sorcière d’après la partition de Candice Thomann et de Mains, mailles, mailloches du duo Ekkis
Après-midi (avec goûter) : improvisations et compositions collectives à partir des traces (partitions, archives)
Matinée avec pause : mise en corps / explorations rythmiques et spatiales / discussions et traces d’expérience / initiation à la théorie de l’effort labanien et à la cinétographie / transmissions de partition, à partir de la reconstruction de la Danse de la sorcière d’après la partition de Candice Thomann et de Mains, mailles, mailloches du duo Ekkis
Après-midi (avec goûter) : improvisations et compositions collectives à partir des traces (partitions, archives)
/
- Oiseau, tu m’entends, c’est Oiselle ?
- Oui, et toi Oiselle, tu me vois ?
En avril à Lieues, viens pointiller, tracer et dessiner tes ailes.
Typographier tes sifflements, survoler ton territoire.
En trois jours essentiellement tournés vers la graphie,
tu confectionneras trois petits livres qui traceront ton oiseau.
Oiselle.Oiseau - je suis (portrait)
Oiselle.Oiseau - je vole (survole)
Oiselle.Oiseau - je vole (survole)
Oiselle.Oiseau - j’écris (je crie)
En trois jours, trois expériences graphiques, trois créations qui se déplieront de concert. L’occasion d’expérimenter diverses techniques graphiques, d’inventer ton plumage, de rêver ton paysage, de traduire ton langage.
En trois jours, trois expériences graphiques, trois créations qui se déplieront de concert. L’occasion d’expérimenter diverses techniques graphiques, d’inventer ton plumage, de rêver ton paysage, de traduire ton langage.
avec. Jeanne Vallauri et Sandra Pasini
Pendant
une semaine, nous proposons aux enfants/pré-ados de venir inventer,
improviser, composer et interpréter en passant à travers des expériences
de corps en mouvement individuelles et chorales. Au regard de la pièce
Les Furies, créée en 1911 par la chorégraphe Isadora Duncan, chacun et
chacune sera amené à creuser, différer, amplifier, transformer les états
mouvementés de la colère, de la vengeance et de l’apaisement. Les
Furies transpercent l’espace, se tordent, griffent l’air et frappent la
terre sur la musique de l’opéra de Gluck (1762). Du jamais vu à l’époque
! Lors de ce stage, les enfants/pré-ados seront également invités à
piocher dans l’écriture (la graphie) du mouvement de Rudolf Laban
(théoricien, pédagogue, chorégraphe et créateur de la cinétographie)
pour créer leurs propres « partitions graphiques ». Le vendredi à 16h30,
nous ouvrirons les portes de notre grotte pour partager à nos proches
une restitution. La forme sera conçue collectivement au cours du stage.
avec alice boivin. laura garby et artem naumenko .
/
Le matin nous commencerons par un échauffement où les appuis, le poids et les
différentes vitesses seront nos moteurs. Puis, au fils de la journée
d’autres jeux nous aideront à creuser, composer ou improviser à la façon
de certains·es artistes chorégraphiques marquants de la fin du XXe
siècle, et ... Le dernier jour, vers 16h30, nous partagerons les
expériences et nos recherches, lors d’une restitution publique (à nos
proches), sans pression, ni formes préconçues en amont du stage.
Ce
stage inaugure une série de plusieurs stages destinés aux « ados »
amateurs·rices
de mouvements (dansés, joués, composés, tracés,
questionnés, mis en jeu).
avec jeanne vallauri . et corina tate .
2021-2022
-
Eh approche ! Tu veux que je te dise un truc ! Regarde, quand je marche
je me décolle du sol en faisant un petit rebond, et toi ?
- Ben hop ! t’en penses quoi !
- J’sais pas, on dirait que tu veux pas avancer même si t’avances !
Pendant cinq jours, nous proposons aux enfants/ados de venir explorer les façons dont les corps dessinent, tous à leur manière, une démarche, un style en mouvement, une manière de s’élancer dans le bras de fer avec l’attraction terrestre !
Pris dans ce corps à corps avec la « gravité », nous irons à la rencontre de personnages qui peuplent et traversent les contes (connus ou moins connus) de différentes manières, pour goûter avec délectation au poids d’un ogre, aux butinements d’un petit chaperon, aux grandes enjambées de bottes de sept lieues, aux martellements suspendus d’un Pinocchio, à l’effleurement véloce des pattes d’un loup, à l’attraction du sommeil d’une princesse, aux repoussées bondissantes des grenouilles, aux frottements des sabots, au cloche pied d’une cendrillon, à l'ancrage inébranlable d'un vieillard...
Nous explorerons selon les âges de chacun·e comment décrire, dessiner, actionner, abriter/habiter un personnage, et observer cet ancrage à la terre !
- Ben hop ! t’en penses quoi !
- J’sais pas, on dirait que tu veux pas avancer même si t’avances !
Pendant cinq jours, nous proposons aux enfants/ados de venir explorer les façons dont les corps dessinent, tous à leur manière, une démarche, un style en mouvement, une manière de s’élancer dans le bras de fer avec l’attraction terrestre !
Pris dans ce corps à corps avec la « gravité », nous irons à la rencontre de personnages qui peuplent et traversent les contes (connus ou moins connus) de différentes manières, pour goûter avec délectation au poids d’un ogre, aux butinements d’un petit chaperon, aux grandes enjambées de bottes de sept lieues, aux martellements suspendus d’un Pinocchio, à l’effleurement véloce des pattes d’un loup, à l’attraction du sommeil d’une princesse, aux repoussées bondissantes des grenouilles, aux frottements des sabots, au cloche pied d’une cendrillon, à l'ancrage inébranlable d'un vieillard...
Nous explorerons selon les âges de chacun·e comment décrire, dessiner, actionner, abriter/habiter un personnage, et observer cet ancrage à la terre !
avec .b. valour . et .m. chebbah
- Tu sais crayonner !
- Oui surtout me frayer un chemin en pointillé
- Alors, on tente de s’incruster !
- Oui surtout me frayer un chemin en pointillé
- Alors, on tente de s’incruster !
Viens découvrir les techniques de reproduction, de multiplication,
d’impression d’une de tes créations.
Empreintes -
tampons -
sillons
Ça creuse * ça trace * ça entaille * ça dessine * ça colore…
Ça creuse * ça trace * ça entaille * ça dessine * ça colore…
avec jeanne vallauri . et sandra pasini
/
- un 2 trio !
- tu sais bien compter !
Mais que cache ce grand cheval de Troie ?
À un, à deux, mais jamais 2 sans 3, embarquement immédiat dans le fameux trois mâts !
- tu sais bien compter !
Mais que cache ce grand cheval de Troie ?
À un, à deux, mais jamais 2 sans 3, embarquement immédiat dans le fameux trois mâts !
Viens passer 3 jours fous, à rythmer 123 / 123 / 123 - de trios dansés en triptyques
graphiques, jongler avec des chiffres, des formes et rendre visible l’abstraction
par le corps et le dessin.
Trois fois rien ma foi, si tri-coter te plaît !
graphiques, jongler avec des chiffres, des formes et rendre visible l’abstraction
par le corps et le dessin.
Trois fois rien ma foi, si tri-coter te plaît !
avec.j .vallauri et b. valour
/
c’est ta tête qui fait danser tes pieds ?
- Non, ce sont mes pieds qui font bouger ma tête, regarde !
- Ah oui, surtout quand tes pieds sont à la place de ta tête !
- Non, ce sont mes pieds qui font bouger ma tête, regarde !
- Ah oui, surtout quand tes pieds sont à la place de ta tête !
Tête dans les nuages ou tête en bas, en tête à tête viens danser avec tes yeux
derrièrela tête, et même rêver que tu changes de tête, pour peut-être te
transformer en ton animal préféré.
Et puis se re-connaître derrière nos nouveaux visages et nos mille-têtes.
Pendant 2 matinées, plongeons ensemble la tête la première dans cet univers
où nous n’en ferons qu’à notre tête !
derrièrela tête, et même rêver que tu changes de tête, pour peut-être te
transformer en ton animal préféré.
Et puis se re-connaître derrière nos nouveaux visages et nos mille-têtes.
Pendant 2 matinées, plongeons ensemble la tête la première dans cet univers
où nous n’en ferons qu’à notre tête !
avec.j .vallauri et b. valour